L’équipe du docteur Jamal Khalife basée au sein du centre d’infection et d’immunité de l’Institut Pasteur de Lille vient de faire une grande avancée dans la recherche sur le paludisme.
Elle vient d’identifier un gène essentiel spécifique du parasite responsable du paludisme. « Cela permet de mieux comprendre la biologie de ce parasite, mais aussi de cibler de nouveaux traitements qui pourraient contourner la résistance à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui, se réjouit le docteur Jamal Khalife, directeur de recherche au CNRS. Nous pourrions aussi empêcher la transmission par les moustiques. C’est prometteur ! »
En 2017, le paludisme a tué 435 000 personnes surtout des enfants d’Afrique subsaharienne, selon l’organisation mondiale de la santé. Cette maladie est causée par la piqûre d’un moustique infecté par un parasite.
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